Histoire

Le moulin fût bâti en 1571 sous le règne de Charles IX (un an avant la Saint Barthélémy) par la famille de Groslée, famille noble qui possédait une bonne partie du Dauphiné avec, entre autres, les seigneuries de Crémieu, Passins, Quirieu et Mépieu.

Vue du moulin

Après 1650, ce patrimoine devient la propriété du cardinal Le Camus, évêque de Grenoble, qui le vend le 26 juillet 1695 à Gabriel Flocard, seigneur de Mépieu. Après la révolution, le moulin tombera dans le domaine roturier, et s’y succéderont des générations de meuniers, dont, de 1823 à 1853, l’arrière grand-père de Maurice Rigot qui sera le dernier meunier de la commune de Creys Mépieu, arrêtant en 1956 d’exploiter le moulin à céréales et le moulin à huile installés par son arrière grand-père à Pré Grivet, 2 kms en amont du moulin d’Arche sur la rivière de Chogne.

Le moulin fût bâti en 1571 sous le règne de Charles IX (un an avant la Saint Barthélémy) par la famille de Groslée, famille noble qui possédait une bonne partie du Dauphiné avec, entre autres, les seigneuries de Crémieu, Passins, Quirieu et Mépieu.

Après 1650, ce patrimoine devient la propriété du cardinal Le Camus, évêque de Grenoble, qui le vend le 26 juillet 1695 à Gabriel Flocard, seigneur de Mépieu. Après la révolution, le moulin tombera dans le domaine roturier, et s’y succéderont des générations de meuniers, dont, de 1823 à 1853, l’arrière grand-père de Maurice Rigot qui sera le dernier meunier de la commune de Creys Mépieu, arrêtant en 1956 d’exploiter le moulin à céréales et le moulin à huile installés par son arrière grand-père à Pré Grivet, 2 kms en amont du moulin d’Arche sur la rivière de Chogne.

La roue